mercredi 25 septembre 2013

Review : Agents of S.H.I.E.L.D (ABC)

Alors, Agents of S.H.I.E.L.D, c'est l'histoire de Buffy Summers, jeune lycéenne au passé trouble qui arrivent à Sunnydale... Nan... Agents of S.H.I.E.L.D nous conte les aventures de Malcolm "Mal" Reynolds et de son équipage de contrebandiers de l'espace sur le vaisseau Serenity... Non plus.
 
1er jour à l'école du S.H.I.E.L.D... Nan, c'est toujours pas ça...
Bienvenue à bord de l'héliporteur !... Bon ok, j'arrête...
 
Vous l'aurez deviné avec cette intro pas franchement subtile, la nouvelle série de Joss Whedon (même s'il n'en réalisera que ce pilote) est avant tout une série de Joss Whedon. On y retrouve l'empreinte du nouveau Roi des Geeks aussi bien dans les dialogues Buffy-esques que dans la réalisation et aussi un peu dans le casting.
 
Pourquoi sont-ils tous si bien sappés ?
 
Pour toutes celles et ceux qui auraient séjourné dans une grotte depuis la sortie de The Avengers, Agents of S.H.I.E.L.D est à la fois la suite et le "prolongement parallèle" et télévisuel de l'univers mis en place dans les films de Marvel Studios. D'ailleurs, l'un des premiers défauts que je pourrais trouver dans la série c'est de partir du principe de base que tout le monde a vu les dits films. En effet, on fait moult fois références à la Bataille de New-York (scène finale de The Avengers) et l'intrigue de ce pilote plonge directement ses racines dans le controversé Iron Man 3 (je dis controversé parce que j'ai souvent l'impression d'être le seul à aimer ce film). De plus, des personnages qu'un nouveau spectateur va identifier comme étant important ne sont tout bonnement pas présenté et là je pense notamment à Maria Hill (Cobie Smulders est venue faire un coucou sur le plateau). En terme d'ouverture à un nouveau public, on peut repasser.
 
La Bataille de New York eut aussi lieu en 1776 et opposa les troupes du Général Whashington à l'armée Britannique
Elle donna lieu à la toute première utilisation de submersibles dans un conflit armée.
 
Le deuxième et dernier défaut majeur de ce pilote, c'est que c'est un pilote ! Alors d'un côté on nous plonge dans un univers complexe mais qu'on ne prend pas la peine de nous expliquer, tandis que de l'autre, on assiste à la formation de l'équipe de l'Agent Coulson et chacun y va de sa petite présentation. Bizarrement, on est tellement dans une dynamique connue et reconnue que ces présentations sont pour le moins superflues. On a déjà vu ces personnages des dizaines de fois et on les identifie en un coup d'œil. Vous ne me croyez pas ?
 
L'Agent Coulson (ou un clone, ou un robot) : la figure paternelle
L'Agent Ward : l'homme de terrain ténébreux et asocial mais qui a un bon fond
 
Skye : la Hackeuse qui n'a pas confiance dans le SHIELD et va tout le temps discuter les ordres
Les Agents Fitz et Simmons : le duo comique, intellos et un peu neuneus
L'Agent May : elle a joué Chun Li dans le Street Fighter avec Van Damme alors on la fait pas chier
 
Alors, malgré le fait que 80% de ces agents secrets auraient davantage leur place sur les bancs du lycée de Sunnydale, n'allez pas croire que je viens vous dire que Agents of S.H.I.E.L.D est une série infâme. Loin de là. L'humour fonctionne la plupart du temps, les références à l'univers Marvel sont nombreuses, les effets spéciaux sont sympas. Néanmoins le thème des agents du gouvernements qui enquêtent sur des phénomènes étranges a déjà maintes fois utilisé et j'ai peur qu'ici on n'arrive pas à la hauteur d'un Fringe ou d'un X-Files tout en surpassant quand même Warehouse 13 ou les dernières saisons de Heroes.
 
Prend ça dans ta face saison 3 de Heroes !
 
L'autre aspect positif de ce pilote est de savoir accrocher le spectateur au détour d'une phrase qui laisse planer le mystère. On se demandait tous comment l'Agent Coulson était de retour parmi les vivants après être passé de vie à trépas face à Loki. L'explication sera vaseuse (à la limite du "Merci, ça va mieux") mais un simple "Il ne doit jamais savoir" murmuré par Maria Hill nous donne l'envie de savoir ce qu'il est vraiment arrivé. De même, le passé des Agents May et Ward ainsi que de Skye, la jolie hackeuse recrutée par le Fils de Coul à la fin de l'épisode semble plein de promesses. Un joli "wait and see" en quelques sortes et l'équipe ne manquera pas de vous faire un joli débrief en fin de saison.
 
J'ai complètement oublié de vous spoiler : ce n'est ni Luke Cage, ni Rage... en fait, c'est Gunn
 
En attendant, restez à la page les sidekicks !

mercredi 18 septembre 2013

VO-Day : Mars Attacks Judge Dredd (IDW Publishing)

A l'heure où Forever Evil, Infinity ou encore Battle of the Atoms battent leur plein chez Marvel et DC, force est de constater que ces événements internes se prêtent assez mal au jeu de la review quand on veut se concentrer à un numéro unique sans tomber dans le domaine du spoil gratuit et simpliste. C'est pour ces raisons que j'ai préféré mettre de côté ces comics et revenir à la base de la base pour vous proposer quelque chose de rafraichissant, fun et simple d'accès.
 
Un cliché du crossover s'est glissé dans cette image, saurez vous le retrouver ?
 
S'il est une constante dans le monde des comics, c'est le crossover inter-univers. Basées sur une logique qui a fait ses preuves depuis des décennies, ces histoires nous offrent mille et une variations sur une trame aussi vieille que le monde. Schématisons :
 
- Deux vilains s'acoquinent
- Leurs Némésis personnelles se rencontrent et là, quiproquo
- Les héros s'affrontent avant de réaliser qu'ils sont copains
- Les deux vilains du début se prennent une sévère dérouillée administrée par un team-up épique.
 
A quand un peu de différence dans les rencontres entre héros ?
 
Il existe pourtant une exception ! En effet, les comics Mars Attacks n'ont jamais essayé de faire passer leurs héros aux crânes hypertrophiés pour des "good guys". Rendus célèbres par le film de Tim Burton, ces aliens sont diaboliques, violents, cruels et semblent prendre gout à l'anéantissement de la race humaine avec un humour noir et délicieusement rétro. Tellement rétro que l'année dernière a vu le 50ème anniversaire de la création des trading-cards Mars Attacks et que ce fut l'occasion de relancer une série comics dédiée à ces petits diables venus de la planète rouge. Et comme ce sont justement d'horribles meurtriers sans foi, ni loi, ne vont-ils pas permettre de briser les chaines de la dictature du crossover ?
 
 
Mais qu'est ce qu'un comics sans héros ? Pas grand chose me direz vous et c'est sans doute pour cette raison que les martiens psychopathes ont accueilli nombre de guest-stars prestigieuses dans leurs revues. Les Ghostbusters, le groupe de rock Kiss, les Transformers, Spike (de Buffy contre les Vampires) ou encore Popeye ont donc tous eu le droit de dézinguer de l'extra-terrestre pour protéger la race humaine.
 
Et comme je savais que vous n'alliez pas me croire...
 
Aujourd'hui c'est à Mega-City-One que les horribles martiens s'attaquent. Crusty, un aspirant parrain de la Mega-Mafia a en effet formé une alliance avec cette racaille d'outre-espace dont la puissance de feu lui permet rapidement de faire passer de vie à trépas la concurrence (un aéropage de criminels allant du fan de Travolta à un robot aspirateur en passant par un singe qui parle) et de débuter une conquête de tous les coins sombres de la ville. C'était bien sur sans compter sur Judge Dredd !
 
S'il pense contrôler les martiens, il se fout le doigt dans le nez...
 
Alors, soyons honnête les uns envers les autres. Ceci n'est pas le plus grand comics de tous les temps. L'histoire tient sur un mouchoir de poches, les personnages secondaires sont caricaturaux au possible... mais, Bon Dieu, qu'est ce que c'est fun !
 
 
On a beau se trouver dans l'univers futuriste de Judge Dredd, on a l'impression que c'est l'ambiance rétro de Mars Attacks qui a prévalu dans le scénario de Al Ewing. Pistolets désintégrateurs, insectes géants de l'espace, référence aux trading-cards sur lesquelles les martiens sont apparus pour la première fois... La mégalopole se voit affublée d'un cabaret style 50's ou une mécha-chanteuse fredonnent sur un air de piano. Même les vilains mafieux de Mega-City-One ont l'air tout droit sortis d'un comic-strip de Dick Tracy (à part peut être le robot...).
 
Et ce n'est pas une image tiré de Jugde Dredd Vs La Mouche
 
Les dessins de John MacCrea sont aussi assez cartoony pour qu'on ne réfléchisse pas trop aux gerbes de sang et de cervelle qui accompagnent chaque décès. De plus, son Dredd respire un charisme et une virilité bien supérieurs à ceux d'un Stallone ou d'un Urban.
 
Comme quoi, avoir un gros cerveau ne sert à rien.
Retenez bien cette leçon les enfants !
 
Je vous ai dit tout à l'heure que nous serions francs les uns envers les autres. Il est donc de mon devoir de vous dire que j'imagine très mal cette série atteindre un jour les étagères de nos librairies favorites. La loi de l'offre et de la demande sans doute... Quoique... ah non, mais ça y est... je vais enfin pouvoir caser un "La loi, c'est moi !" dans cet article.
 
"La loi c'est moi et je n'ai jamais pris de cours d'arts dramatiques !"
 
 
A la prochaine les sidekicks. 

jeudi 12 septembre 2013

Review : Locke and Key (Milady Graphics)

Avant-propos : cette review a été rédigée suite à la lecture des deux premiers tomes de Locke and Key. Je me suis souvent amusé à spoiler dans la bonne humeur, mais ici je vais tenter d'en révéler le moins possible afin de ne gâcher le plaisir de lecture de personne.
 
 
J'ai honte... Profondément honte... Comment ai-je pu passer à côté de ce petit bijou si longtemps ? Car oui, Locke and Key est un bijou. Une façon de faire du neuf avec du vieux et si Stephen King a su mettre en ébullition l'imaginaire des fans de fantastique dans les années 90, son fils Joe Hill, scénariste de la saga, va surement enflammer celles des aficionados de l'étrange contemporains. Lancée en 2008 chez IDW Publishing, la série a déjà remporté une demi-douzaine de prix dont deux Eisner Awards (récompense correspondant aux Oscars pour le comics).
 
Et ça, encore c'est soft !
 
 
Parlons de l'histoire. La famille Locke emménage à Keyhouse, la demeure ancestralement familiale suite à une tragédie qui a couté la vie au patriarche Rendell Locke, conseiller d'orientation abattu par un élève dérangé à qui il a voulu venir en aide. Ce drame initial, d'une violence et d'une perversité aussi malsaine que peu révélée, a laissé de profondes cicatrices émotionnelles chez les survivants Locke : Nina et ses trois enfants Ty, Kinsey et Bode.
 
Et quand je parle de tragédie, je devrais dire "Motherfuckin' trauma"
 
Tentant péniblement de remettre les morceaux brisés de leur vie en place et suivant la dernière volonté de Rendell, l'emménagement à Keyhouse sera l'occasion pour le jeune Bode de découvrir une clé étrange qui, dans la bonne serrure, lui confère le pouvoir de se transformer en fantôme. Et ce n'est là que le début de l'aventure. d'autres clés ayant toute un pouvoir différent sont disséminées dans le manoir et de sombres forces aimeraient s'en emparer dans un but qu'on ne peut que s'imaginer comme étant des plus funestes.
 
Contemplez le Mal à l'état pur !
 
Clé fantôme, clé téléporteuse, clé permettant d'ouvrir les esprits ou de changer de sexe, les trouvailles s'enchainent et chacune d'entre elles amènent un peu plus de magie. Car c'est de cela que nous parlons, de magie ! Basé sur un canevas ultra-convenu : la découverte d'un objet/endroit magique dans une demeure dans laquelle on emménage (les Narnia, Chroniques de Spiderwick et autres Coraline en sont autant d'exemples), Hill a le coup de génie d'insuffler une touche foutrement glauque et adulte dans cette atmosphère de conte de fée. Viols, meurtres, alcoolisme, sexe, folie sont autant d'éléments qui viennent nous rappeler qu'il n'y a ni prince, ni bonne fée qui viendront sauver la situation et qu'au vu des progrès de "l'ennemi" dans les deux premiers volumes, les "bons" vont rapidement avoir chaud aux fesses.
 
Mais garderons la tête froide !
 
Les dessins de Gabriel Rodriguez se font alors le reflet de cet état d'esprit. Mi-enfantin, mi-dark, l'artiste a su s'approprier l'univers qu'on lui a demandé de dépeindre et la plus-value que cela ajoute est des plus réjouissante. Sa gestion des flashbacks est en outre hyper classieuse (mais ça je vous laisse le découvrir).
 
Souvenez-vous de ce que je disais sur les fées quelques lignes plus haut
 
La narration est aussi intéressante et s'appuie sur une technique digne des séries TV (notamment American Horror Story : Murder House). Dans le premier tome, chaque épisode se concentre sur un personnage en particulier avec moult flashbacks et changement de point de vue sur une même scène. Il n'est du coup pas étonnant de savoir qu'un pilote (réunissant quand même Miranda Otto et Nick Stahl au casting ainsi que Steven Spielberg à la production) a été diffusé au Comic-Con de San Diego en 2011, bien qu'on soit encore sans nouvelle d'une potentielle suite.
 
- Mais qu'est ce qui t'arrive Bode ? Pourquoi tu pleures ? Tu veux plus passer à la télé ?
- Si mais tu crois que si on devient une série, je deviendrais aussi pénible que Carl ?
 
Je pourrais encore vous parler des personnages qui sont tous attachants (même l'antagoniste principal a cet espèce de charme maléfique), ou vous dire qu'il ne faut pas attendre que la série soit achevée ou devienne un nouveau phénomène télévisuel à la Walking Dead pour vous y intéresser. Je pourrais vous expliquer les mystères qui vous obséderont tant que vous n'aurez pas toutes les réponses. Je pourrais citer les références à Lovecraft, à Shakespeare à la pop des années 80... Pourtant je ne dirais rien de tout ça. J'ai parlé à quelqu'un de mes impressions à la fin de la lecture du premier tome et je pense que le texto que j'ai envoyé résumera en 6 mots ce que j'essaie de vous comprendre depuis le début de cette review.
 
Et aussi des références à Jurassic Park
 
 
Locke and Key : Love and Kiff !

mercredi 4 septembre 2013

En Mode Super-Castor : Les Illuminatis

Concept assez récent mais qui a su s'appuyer sur un background plausible la plupart du temps, les Illuminatis, la société secrète des Héros Marvel revient sur le devant de la scène dans New Avengers et il est peut être temps d'instruire la jeunesse sur le rôle joué par cette assemblée de l'ombre.
 
Et non, ces Illuminatis n'ont pas l'intention de faire sauter le Vatican
 
Apparus pour la première fois dans New Avengers Vol.1 #7, les Illuminatis sont une création de Brian Michael Bendis (le mec qui -  s'il n'avait pas touché à l'univers Ultimate - n'aurait fait que du bonheur dans sa carrière). A l'époque, le groupe se présente comme une société secrète qui rassemble un représentant des différents types de héros ou peuples de la Terre ou de sa proche banlieue.
 
 
- Iron Man (instigateur de la réunion) représentant les héros type Avengers.
- Mister Fantastic qui représente les Quatre Fantastiques et joue un peu les intellos de service.
- Doctor Strange qui est le porte parole du monde mystique et des arts occultes.
- Charles Xavier qui remplit le quota d'handicapés... parle au nom des héros mutants
- Namor et Black Bolt qui en tant que souverains de leurs peuples respectifs (les Atlantes et les Inhumains donc...) ne pouvaient pas faire autrement que d'être là.
 
 
 
Le story-arc révélant leur existence s'étend des épisodes 7 à 10 de New Avengers relataient une réunion des Illuminatis prenant place après la dissolution des Avengers et on y voyait Iron Man prétendre que la situation Sentry ne dégénererait pas en une crise comme celle initiée par la Sorcière Rouge.
 
Oups...
 
Le groupe prendra de nombreuses décisions qui influenceront notablement l'univers Marvel, notamment concernant la loi de registration de super-héros (le point de départ de Civil War) et en envoyant Hulk dans l'espace dans l'espoir qu'il trouve une planète accueillante et arrête de casser tout ce qui se trouve sur son chemin. Cette décision mènera directement aux événements de Planet Hulk, puis de World War Hulk quand le géant de jade reviendra régler leurs comptes à ses "amis" qui l'ont exilé.
 
Re-Oups
 
Cependant, les accomplissements les plus notables des Illuminatis sont antérieurs à leur première apparition. En effet, la mini-série New Avengers : Illuminati de Mai 2006 (soit environ un an après la 1ère apparition du groupe) nous révèle qu'Iron Man a formé sa cabale des années auparavant suite à la guerre entre les Krees et les Skrulls. Persuadé que si tous les héros mettaient leurs informations et leurs ressources en commun, de tels événements auraient pu être évités, il lance l'idée de créer un organisme regroupant tous les super-humains. Ses pairs ne seront pas d'accord avec lui sur l'efficacité d'une telle structure, mais accepteront de se réunir ponctuellement pour discuter des différentes menaces qu'ils sont amenés à affronter.
Et aussi pour prendre le thé en mangeant des gâteaux
 
Et c'est là que le retcon commence ! Pour les ignorants, sachez que le retcon est l'abbréviation de retroactive continuity. Conspué par les fans, ce procédé permet tout simplement de modifier un élément de la continuité établie pour réparer une bourde du scénariste précédent ou tout simplement changer quelque chose qu'on aime pas. Un exemple bien connu de retcon est l'épisode de la série Dallas où Pamela se réveille pour trouver Bobby Ewing sous la douche alors que celui-ci était mort depuis un moment. Faire passer les épisodes où Bobby était mort pour le rêve de Pamela était uniquement un moyen de faire revenir le personnage sans avoir à fournir la moindre explication.
 
Non non, vous ne rêvez pas ! C'est bien Franck de Notre Belle Famille
 
Bref, la mini-série Illuminati nous balance qu'après la première rencontre, notre société secrète préférée est allée menacer l'empire Skrull de représailles s'il menaçait à nouveau la Terre (et ce faisant, ils ont involontairement initié une série d'événements menant à Secret Invasion... comme quoi...), a expédié le Beyonder dans une autre dimension (niant une partie de l'intrigue de Secret Wars I, III et III), et s'est emparé des Gemmes de l'Infini si chères à Thanos (ce qui une fois encore a mené à la catastrophe).
 
Du coup, la Cabale et Dark Reign c'est aussi leur faute.
Et dire que ça partait pourtant d'une bonne intention...
 
Revenus sur le devant de la scène avec quelques nouveaux membres (La Panthère Noire, Captain America et Le Fauve), les Illuminatis constituent désormais une équipe toujours aussi peu soudée et prête à se faire des cachotteries à la moindre occasion. Les récents épisodes de New Avengers ont d'ailleurs encore prouvé que sous prétexte d'aider le monde, ils n'ont techniquement aidé qu'à le pourrir et ce n'est pas Infinity qui va me contredire.
 
A très bientôt les Sidekicks.